Fumal est une section de la commune belge de Braives
située en Région wallonne dans la province de Liège le long de la
Mehaigne.
La Mehaigne est une rivière de Belgique, affluent en rive gauche de la
Meuse. Elle prend sa source dans l’entité de La Bruyère, en province de
Namur, coule en Hesbaye et se jette dans la Meuse à Wanze, près de Huy
toujours en province de Liège.
Fumal
est en forme d’étoile, cerné de nombreux bois. Ce village s’encaisse
dans la vallée; les affleurements de roches de schiste et de calcaire
annoncent la vallée mosane.
La
majorité de l’habitat occupe les versants encaissés de la vallée et
s’égrène le long des rues perpendiculaires au relief. L’implantation des
maisons perpendiculaires au relief ainsi que l’absence d’habitat en
fond de vallée ne permettent pas de dégager une véritable silhouette
groupée bien délimitée. Les quartiers de » la Basse » et les » Trous
« , le long de la Méhaigne, comptent une grande densité de maisons dont
l’ancienne école communale et, d’autre part, le « hameau de Hougnée »
qui s’étire vers Fallais, est le moins peuplé, mais en voie de
développement.
Le
centre véritable du village se situe sur la rive gauche de la Méhaigne
en direction du sud. Il s’articule autour des deux grandes fermes,
celles de la » Dîme » ou » Des Dames » et de » l’Escaille « .
En abordant le village par la route de Warnant, l’ensemble des bâtiments du château émergeant d’une végétation assez dense offre un ensemble plus cohérent et exceptionnel au regard.
En abordant le village par la route de Warnant, l’ensemble des bâtiments du château émergeant d’une végétation assez dense offre un ensemble plus cohérent et exceptionnel au regard.
Le château est implanté comme l’église sur un éperon schisteux, le château forme un ensemble d’un beau calcaire blanchâtre.
Son noyau ancien consiste en une tour remontant au XVIe siècle sommée d’une toiture bulbeuse et dotée d’un nouveau parement dans le premier tiers du XVIIe siècle.
Les constructions qui vinrent s’y greffer remontent aux XVIIe et XVIIIe siècles.
On peut lire la date de 1622 dans les ancrages de la façade sud.
Un beau parc s’étend au nord de la demeure.
Son noyau ancien consiste en une tour remontant au XVIe siècle sommée d’une toiture bulbeuse et dotée d’un nouveau parement dans le premier tiers du XVIIe siècle.
Les constructions qui vinrent s’y greffer remontent aux XVIIe et XVIIIe siècles.
On peut lire la date de 1622 dans les ancrages de la façade sud.
Un beau parc s’étend au nord de la demeure.
L’élégante
toiture à bulbe octogonal de style baroque a été posée après l’incendie
de 1722.
L’ancien manoir et les annexes feront l'objet d'importantes transformations au 18ème et 19ème siècle par la famille Mincé du Fontbaré qui en sont toujours les propriétaires.
L’édifice gothique en moellons de calcaire du XVIe siècle fut profondément remanié en 1884.
Le vitrail (XIXe siècle) du transept nord montre les armoiries de la famille du Fontbaré qui acquit Fumal au XVIIIe siècle.
Après la révolution, celle-ci donna plusieurs bourgmestres à la localité.
Une chapelle fut érigée près de l’entrée du parc en souvenir d’un des membres de cette famille.
Bordant le cimetière, on remarquera les pans de murs en schiste, vestiges de l’ancien château fort (XIIe et XIIIe siècle).
Le vitrail (XIXe siècle) du transept nord montre les armoiries de la famille du Fontbaré qui acquit Fumal au XVIIIe siècle.
Après la révolution, celle-ci donna plusieurs bourgmestres à la localité.
Une chapelle fut érigée près de l’entrée du parc en souvenir d’un des membres de cette famille.
Bordant le cimetière, on remarquera les pans de murs en schiste, vestiges de l’ancien château fort (XIIe et XIIIe siècle).
La vieille cense
Son corps de logis et ses toitures d’ardoises datent du XVIe siècle (1564).
On observe une belle façade gothico-renaissance homogène, en calcaire où se trouvent des fenêtres en linteau en accolade.
On observe une belle façade gothico-renaissance homogène, en calcaire où se trouvent des fenêtres en linteau en accolade.
Histoire et légende de Fumal
Les petits cœurs de Fumal furent introduits par Elisa du Fontbaré.
Ils contiennent chacun un fragment d’agnus-Dei, médaillon de cire blanche pure provenant des cierges pascals de la chapelle Sixtine et des autres églises de Rome. Étoile de toutes les enfances, ils protègent des convulsions, de la mort subite et des dangers qui guettent un nourrisson ou une future mère. Dès qu’un bébé naît dans le village ou aux alentours, son père enfourche son vélo et roule vers le château pour se procurer un médaillon.
Ils contiennent chacun un fragment d’agnus-Dei, médaillon de cire blanche pure provenant des cierges pascals de la chapelle Sixtine et des autres églises de Rome. Étoile de toutes les enfances, ils protègent des convulsions, de la mort subite et des dangers qui guettent un nourrisson ou une future mère. Dès qu’un bébé naît dans le village ou aux alentours, son père enfourche son vélo et roule vers le château pour se procurer un médaillon.
Quelques photos prises à Fumal
Et pour terminer cet article une vidéo sur ce joli village.
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