31 août 2020

Au pays de Val-Dieu

Le pays d'Aubel prête à l'organisation de balades, de marches balisées ou non. C'est une région que j'aime particulièrement.
C'est pourquoi j'y ai encore emmenée mes comparses du dimanche ce dimanche 23 mars dernier.
Je leur ai donné rendez-vous sur le parking de l'Abbaye de Val-Dieu.
Je leur avais dessiné un circuit  de 13 km.

 

Je ne vous présente plus l'Abbaye de Val Dieu, j'en ai déjà parlé dans différents posts antérieurs.

Tout le monde étant prêt, nous quittons le parking pour rejoindre le carrefour de la Route de Val Dieu.

Nous l'empruntons sur la droite.

Après avoir traversé la Berwinne, nous virons sur la droite et nous allons entamer une longue montée qui nous emmènera au Rond Bois.





Le Rond Bois traversé, nous arrivons à Sart.

 

A hauteur du bbq, nous virons sur la droite.


Ensuite, nous prenons à droite vers la table d'orientation.

Nous quittons le parcours pour s'approcher de cette table située dans la prairie sur la droite. Le point de vue y est magnifique.


 







Situé sur les hauteurs de Saint-Jean-Sart, le lieu-dit « Knuppelstock »  (bois noueux) offre un vaste et magnifique panorama.  Sur base de la cartographie de l'Institut Géographique National, tout le paysage s’offrant à la vue a été sculpté à la main dans une pierre bleue d'une tonne et de 1,5m de diamètre. Des repères en bronze y ont été apposés en relief, ce qui en fait une table d’orientation paysagère accessible aussi pour les malvoyants !

La table d'orientation est adossée à l'ancien poste d'observation militaire MN18 qui dépendait du fort d'Aubin-Neufchâteau.  Il subit l'assaut de l'ennemi en mai 1940, le trou visible sur le dessus de la cloche d'observation témoigne encore du terrible pouvoir perforant d'une "charge creuse".

Nous revenons sur nos pas, quittons la prairie et descendons le sentier sur la droite.

Plus loin, nous passons l'échalier sur la gauche, traversons la prairie et rejoignons la Knuppelstock.


 

Arrivé à la route, nous virons sur la droite.


 

A hauteur de la vierge, nous traversons la rue de la Marinière, passons l'échalier face à nous et traversons les prairies en ligne droite jusqu’à arrivée à la rue Graedt.




Nous traversons ce chemin qui mène à une ferme sur la gauche et nous continuons à traverser les prairies en face de nous en suivant le balisage existant.

 

Au bout de ces prairies, nous descendons le sentier sur la droite et traversons la Bel.


 

Arrivé à la Route de Val Dieu, nous la traversons prudemment et empruntons le chemin face à nous.

Au bout de celui-ci, nous prenons le chemin sur la gauche et nous bifurquons directement sur la droite en passant un échalier.


Nous traversons la prairie. Nous passons l'échalier à hauteur d'un champ de mais et suivons le chemin sur la droite.


Nous suivons bien le chemin balisé.. On pourrait traverser les champs mais nous respectons le parcours balisé par respect envers le propriétaire du champ.. 

Nous arrivons rue Gaet non loin des vergers où se fait la récolte des pommes  pour la cidrerie Stassen.


Nous prenons à gauche  jusqu’à le croisement avec la route de Gorhez.
Nous virons sur la droite et après quelques mètres, nous passons l'échalier sur la gauche. Nous allons traverser les prairies et longer la château de Gorhez. Malheureusement, nous ne verrons pas grand chose de la chapelle et du château.


 

Le corps principal est de style Louis XV, remanié en 1767 et agrandi en 1858 par la famille Nicolaï. Il est surmonté d’un toit à deux versants recoupés en haut des extrémités par de petites croupes. Le clocheton bulbeux date, lui, de 1925.

La façade principale s’élève sur un soubassement en moellons percé à gauche d’un jour de cave du XVIIème siècle, façade cantonnée de chaînages d’angles du XVIIème siècle à gauche, à refends de 1767 à droite. Les fenêtres ont un encadrement de pierre, avec des piédroits monolithes et linteau cintré avec clé dépassant vers le haut. Des grillages à barreaux effilés vers le haut les protègent. La porte à deux vantaux moulurés présente dans son linteau les armoiries des Nicolaï. La boiserie se termine par une belle imposte vitrée à petits bois ovale et en forme de rinceaux.

La corniche est surmontée d’un petit fronton triangulaire sculpté de treillis et de feuillages, moderne lui aussi, où figure la date 1767, qui est celle où la propriété passa dans les mains de Jean-Pierre Nicolaï.
A droite se dessine la ferme du XVIIème siècle remaniée au XVIIIème siècle. A droite de cette façade, on devine deux niveaux d’arquebusières séparés par une gerbière à linteau droit au-dessus d’une dalle calcaire ovale armoriée "Ernst" avec la devise "sine invidia laudem".

Nous suivons  de nouveau le balisage pour la traversée de ces prairies qui nous amène à la route Dommelraedt.

 

Nous virons à droite et nous suivons cette petite route de campagne.
Arrivé à Messitert, à hauteur d'une croix en pierre, nous virons sur la droite.


Nous sommes Rue de Messitert. Cette rue devient sentier et nous arrivons au bord de la Berwinne.
Là le chemin vire sur la droite. Il est en montée.

Après  la ferme, nous prenons le sentier sur la gauche. Nous arrivons à une route nationale que nous empruntons sur la gauche.
Quelques centaines de mètres plus loin, nous virons sur le chemin montant à droite. C'est le chemin du Bois d'Ansy que nous suivons jusqu'au croisement avec la route Bushaye.
A hauteur de celle-ci, nous prenons sur la droite et après quelques dizaines de mètres, nous virons sur le sentier à gauche. Nous le suivons jusque la Route de Val Dieu.

 

Nous la traversons, nous nous dirigeons sur la gauche puis directement nous empruntons le chemin à gauche qui nous amène Rue de l'Abbaye.

Nous arrivons à Saint-Jean Sart.
Nous descendons à gauche vers la fontaine.

 

Nous suivons la route et au bout de celle-ci, nous bifurquons sur la gauche pour entamer la descente sur Val Dieu.
Nous virerons sur la gauche pour passer le long de l'étang et nous rejoignons le parking de l'Abbaye.

Nous avons apprécié ce parcours et pour fêter cela, nous nous retrouvons au Casse-Croûte afin de déguster une bonne Val-Dieu et de manger un petit plat de l'endroit.

Pour retrouver les photos, c'est ici.

A bientôt pour le prochain post consacré à une rando à Wéris et ses dolmens.


24 août 2020

Au pays des Eaux de Spa

Une belle randonnée à Spa cela vous dit.

Alors cliquez sur le parcours et téléchargez le sur votre gps.

 

De Poulseur à Anthisnes et retour par Mont.

Ce samedi 22 août, j'étais décidé à parcourir d'une distance d'une vingtaine de kilomètres.
Je n'aime pas les parcours trop monotones. Je suis toujours à la recherche d'endroits un peu ou moyennement vallonné, avec des caractéristiques différentes, (mélange de bois, campagnes, sentiers, rues...) et avec un attrait particulier pour la découverte d'un ou plusieurs sites sur l’itinéraire.

Pour commencer, chercher le lieu de départ... Mon choix s'est porté sur Poulseur.

Ensuite, j"ai regardé sur la carte ce qu'il y aurait d'intéressant comme (re)découvertes dans la région du lieu de départ.

J'ai directement mis le doigt sur la commune d'Anthisnes et son château.

Mon périple était choisi. Poulseur-Anthisnes-Poulseur.

Il ne me restait plus que de tracer un parcours sur la carte et de l'enregistrer sur mon gps de marche.

 

Il n'y a pas grand monde à Poulseur en cette matinée. J'arrive donc facilement à garer ma voiture sur le parking à la droite de la gare..  En face de la gare, c'est la place centrale.


Situé dans la vallée de l ' Ourthe, le village de Poulseur fait partie de l ' entité de Comblain- au- Pont. Les habitants s'appellent les Poulseurois.

Les origines précises du village sont assez nébuleuses. Toutefois, on a la preuve que les campagnes, situées au-dessus de l'actuel cimetière, furent habitées dès le début du 3e siècle de notre ère. En effet, deux campagnes de fouilles (milieu du XIXe siècle, puis début des années 80) permirent de mettre à jour des objets (dont un buste en bronze représentant probablement le dieu Bacchus), d ' innombrables tessons de poteries, mais surtout les substructions d ' une habitation de type "villa gallo-romaine". En réalité, il s'agissait sans doute ici d ' un bâtiment faisant partie d 'une exploitation agricole.

Parmi les habitants de cette "villa", il y aurait eu un certain Pullisius, lequel serait à l ' origine du nom actuel du village. Le site semble avoir été occupé jusqu'au 5e siècle, puis abandonné, peut être suite à un incendie d'une partie des bâtiments.  

Vers l'an 1300, un seigneur féodal du nom d'Eustache II du Many fit ériger une tour fortifiée, en surplomb de l'actuelle grand'place. 

 

Puis, par mariage, cette tour devint la propriété de la seigneurie de Rheinhardstein. D'où le nom, assez récent, de cette fortification : Tour Renastienne ou Reinarstein. Mais les villageois eux donnèrent à cet édifice bien des noms différents, certains assez farfelus : Château "Alle Cruppe", Vieux Château, Tour Carrée de Charlemagne ou encore Château des 4 Fils Aymon. Cette tour a été complètement réaménagée voici quelques années, avec ajout de nouveaux bâtiments.  

Un ancien canal, toujours visible, creusé (époque des travaux incertaine) en parallèle avec l'Ourthe permit, durant des décennies voire des siècles, le transit de diverses marchandises, à l 'aide de petits bateaux à fond plat appelés "bètchètes". Ces bateaux, malgré leur faible tirant d' eau, ne pouvaient naviguer sur les tronçons où la rivière n'est pas très profonde, ce qui est le cas entre Poulseur et le village de Chanxhe. Le canal, plus profond, permettait donc d'éviter cet obstacle.

Mais le village connut ses années de gloire et de prospérité, au siècle dernier, grâce aux carrières de grès et de petit granit. Au plus fort de cette activité industrielle, des centaines d ' ouvriers travaillaient dans les différents sites d'exploitation. Un téléphérique, appelé "l'aérien",  amenait les pierres extraites à la limite de la commune d ' Anthisnes jusqu' à la vallée. Cet ouvrage de plus de deux kilomètres était alors considéré comme l'un des plus longs d'Europe, voire du monde. Hélas, il n'en reste plus rien ...    

A voir, entre-autre : l’église du Sacré Cœur, la grand'place, sa Maison du Peuple, et son ancienne Maison Communale. 

La Maison du Peuple

 L'église du Sacré-cœur


 
Sa fondation remonte à 1090. Elle était dédiée à Saint-Servais et dépendait de Comblain-au-Pont.
Un chanoine liégeois, de Soheit, fils d'un seigneur de Poulseur la reconstruisit en 1510.
On l'agrandit en 1645 puis en 1761.
Elle devient paroissiale en 1842.
Elle fut à nouveau reconstruite en 1844 et rénovée par l'architecte Sacré en 1906.
 
Après avoir fait le tour de la place et ses alentours, je me décide à prendre la route pour une longue randonnée de 19 km.

Je prends la direction d'Esneux (à droite en quittant la place).
Et après quelques dizaines de mètres, je rejoins un escalier sur la gauche. C'est le début du sentier de la Heid. Je vais suivre ce sentier en montée constante ainsi que la route qui le prolonge jusqu'au hameau d'En Sart.



C'est une longue montée qui me permettra d'avoir quelques belles vues sur la vallée de Poulseur.
 



 
Sart est un ancien fief de la cour féodale de la principauté de Stavelot-Malmédy.
Au Moyen-Age, Sart était plus important que Poulseur et disposait d'une cour de justice 'l'Avouerie de Sart" située sur l'actuelle Route de la Malle-Poste.


J'arrive à hauteur d'un crucifix. Je continue tout droit sur la route de la malle-poste.
 



 

Au bout de cette route, impossible de continuer tout droit car c'est un chemin privé conduisant à une carrière. Je prends donc le sentier sur la droite et j'entre dans le bois de Halleux. Je vais longer la carrière. Cela me sera rappelé par les panneaux danger.



 
Je regarde régulièrement mon tracé gps afin de rester sur le bon chemin.

 J'arrive à un point de vue sur la carrière.

 
Je traverse le Grand Bois d'Anthisnes.

 

Je quitte le bois et je me dirige vers Villers-aux-Tours et son château.



Le château de Villers-aux-Tours est situé au Nord d'Anthisnes à proximité du hameau de Fecher et date de la fin du XVIIè siècle. Le corps de logis est massif et flanqué d'une seule tour plus ancienne. Le château fut construit par Godefroid de Rahier d'Argenteau en 1682 en remplacement d'un plus ancien qui avait brûlé. Il est entièrement construit en pierre du pays. Le château ne se visite pas sauf pendant les Journées du Patrimoine en septembre et est visible de la route.
 
Peu avant le château, je vire sur la gauche Rue de Fecher qui se prolonge par un sentier.
 
 
J'emprunte la rue Saint-Donat sur la gauche et ensuite toujours sur la gauche la rue du village. Je passe devant la chapelle Saint-Donat

 
Peu après l'école communale, je vire sur la droite.
 
Je vais descendre le Thier de Villers.  Sa deuxième partie est assez étroite.






 J'arrive à Anthisnes. Je traverse la Chaussée de Liège et emprunte la Rue du Centre.
 
Selon la tradition, Anthisnes aurait été fondée par Sedroc, quatrième roi de Tongres. Il est cependant établi que la région était déjà occupée par les Condruses. À l'époque de la colonisation romaine la voie impériale reliant Durocortoroum (Reims) à Colonia Agripina, (Cologne) traversait la commune d'ouest en est. La présence d'une villa gallo-romaine sur le territoire et dite d'Antinac serait plus vraisemblablement à l'origine du toponyme. 
 
Je quitte la rue du centre pour me diriger vers l'église. 
 
 


 Je passe devant l'école communale. Je rejoins la rue Prè d'El Cour.
Je vire sur la droite Rue de la Brassine, continue sur le petit sentier face à moi et arrive Avenue de l'Abbaye.
 
J'aperçois à ma gauche la ferme abbatiale Saint-Laurent.
 


 

L'église Saint-Maximin est un des plus anciens édifices religieux de la région. Elle est fondée dès le 10è  siècle puis régulièrement aménagée pendant les siècles suivants. Le corps de logis  de la ferme est réalisé sans doute à la fin du 14è siècle. Il s'agit d'une possession de l' abbaye de Waulsort de 946 à 1659 puis de l'abbaye Saint-Laurent de Liège de 1664 à 1797. L'abbé Guillaume Natalis entreprend la reconstruction d'une partie de la ferme entre 1665 et 1683. Ensuite, les bâtiments deviennent la propriété de R.J. Vernick en 1797, du chevalier Grandchamps au 19è siècle, de M. Cartuyvels vers 1904 et de A. Dombar en 1978. La ferme perd sa fonction d'exploitation agricole en 1977 et est complètement restaurée dans les années 2010 pour être transformée en une vingtaine de logements sociaux.
 
Je me dirige vers le château de l'Avouerie d'Anthisnes. 
 
 

L'Avouerie est composée d'un donjon du XIIè siècle et d'un corps de logis qui s'y est adossé au XVIIè siècle.

Le donjon est une construction de cinq étages dont l'épaisseur des murs peut atteindre deux mètres. Il est de plan carré et est bâti en pierres calcaires issues des carrières de la région. De petites fenêtres ainsi que des meurtrières et des créneaux ponctuent les quatre niveaux supérieurs de la construction.

Le donjon a parcouru les siècles pour nous parvenir intact et conforme à sa construction initiale. Il compte parmi les trois donjons européens de cette époque les mieux conservés.

Aujourd'hui, le donjon abrite un petit musée consacré à la bière et au pèket.

 Le corps de logis fut construit par Godefroid d'Antine et terminé en 1648. Il est adossé au donjon et est composé d'une imposante façade à quatre travées entourée de deux tours carrées moins hautes que la tour du donjon. 

Dans les caves voûtées de l'Avouerie, se déguste la Réserve de l'Avouerie d'Anthisnes. Il s'agit d'une bière de haute fermentation, ambrée, légèrement ferrugineuse, avec un taux d'alcool de 5 %, brassée suivant une recette inspirée du Château. 

 

Il est trop tôt pour aller déguster cette bière car j'ai encore quelques kilomètres à parcourir. Je ne m'attarde donc pas et me dire vers la rue du Vieux Château à ma gauche.
Ensuite, je vire encore sur la gauche sur la Rue du Mont.
 
A hauteur d'une carrière où je vois une impressionnante  grue, je vire sur la droite.
 
 

 
Je vais traverser assez longuement des champs. 


 Je rejoins la Ferme du Raideux.





Située sur un plateau, à Mont, elle fait face à un magnifique paysage. Le plateau du Raideux est très fertile. Il a attiré l’homme dès la période préhistorique. On y a découvert également les vestiges d’une villa romaine. Le bâtiment a été la propriété des Princes-abbés de Stavelot-Malmédy au Moyen-Age jusqu’à la révolution française. Le portail arbore les armes de Malmédy : d’or, au basilic de sable sur un tertre de sinople.

Je descends le Thier du Raideux puis me dirige vers la droite pour rejoindre le hameau de Mont.

Je découvre une fontaine. Avec la période ensoleillée des dernières semaines, l'eau n'y coule pas.


 

La « grande » fontaine est située au milieu du carrefour et servait à la fois d’abreuvoir, de réserve d’eau pour les fermiers et de bac de rinçage pour le linge. Fermiers et ménagères s’y rencontraient et y taillaient fréquemment une bavette. La « petite » fontaine remontant à la fin du 19e siècle servait aux ménagères pour laver les légumes. C’était aussi la seule source d’eau potable pour les habitants jusqu’en 1937.

En 1990, dans le cadre de l’année des fontaines, la « petite » fontaine fut restaurée, donnant à nouveau à cet endroit son charme et sa convivialité.

Je me dirige vers le centre du hameau.

Le village est formé de maisons et fermettes en  grès ou en pierre calcaire issus des carrières de la région. Certaines habitations sont composées de ces deux variétés de moellons. 

La chapelle Sainte-Thérèse, implantée au milieu du village, a été construite dans les années 1920 par la famille van Zuylen.


 
Plus loin, je vire à gauche sur le Chemin des Près Marsotte.


 

Au bout de celui-ci, je prends à droite. Je vais suivre assez longuement ce chemin.



 Je bifurquerai sur la droite peu avant un poste d'observation.

 

Je rejoins un bois et je vais descendre très prudemment le sentier.. Il y a des pièges cachés.. Faut bien regarder où mettre ses pieds.


 
Je rejoins la route nationale et je me dirige sur la gauche.
Je traverse ensuite le pont de l'Ourthe et me dirige directement après à gauche pour rejoindre le chemin du Ravel.



 A gauche du Ravel, c'est le canal de l'Ourthe et à sa droite, un peu plus éloignée c'est l'Ourthe





 
Le parcours touche presque à sa fin.
Je traverse le canal de l'Ourthe. Il va rejoindre la rivière un peu plus loin.


Je continue toujours sur le Ravel et je bifurquerai bientôt sur la gauche pour rejoindre mon point de départ.
Je traverse le passage à niveau et je contourne la gare pour retrouver ma voiture sur le parking.
 
C'est encore pour moi une belle journée de marche de terminée..

Je vous invite à consulter les photos ici.
 
N'hésitez pas à laisser un commentaire... 
 
On se retrouve dans un prochain post pour une autre rando.