Ce samedi 9 février, direction un des plus beaux villages de Wallonie, "Clermont-sur-Berwinne" pour participer à la marche organisée par le club "Les Pedestrians" de cette localité.
Le club proposait les deux jours de marche des parcours de 4 - 7 - 12 - 21 kms avec en plus le samedi un parcours de 42 kms..
Plus d'un millier de participants se sont retrouvés à Clermont ce samedi.
J'ai opté pour le parcours des 12 kms.
La météo était plutôt maussade...
Ciel nuageux et vent glacial..
Mais pas de découragement parmi les participant(e)s.
Ciel nuageux et vent glacial..
Mais pas de découragement parmi les participant(e)s.
D'origine inconnue, Clermont entre officiellement dans l'histoire le 8 novembre 1230 par une charte signée par l'évêque de Liège de l'époque qui reconnaissait la paroisse comme détachée de l'église de Herve.
En 1411, la Seigneurie de Clermont devient seigneurie indépendante du Duché de Limbourg.
Le régime français rattacha ensuite son territoire au canton d'Aubel, tandis que durant la deuxième guerre mondiale, les allemands annexèrent une partie du territoire de Clermont.
Le régime français rattacha ensuite son territoire au canton d'Aubel, tandis que durant la deuxième guerre mondiale, les allemands annexèrent une partie du territoire de Clermont.
Le village est sans doute le plus typique du Pays de Herve. Il abrite des maisons de style Louis XIII, Louis XIV et Louis XV.
Surveillant cette place, l’église (style Renaissance mosane, fin du
XVIème siècle), édifiée sur un promontoire, à l’origine défensif,
remplace un premier sanctuaire probablement romain et est dédiée à
Saint-Jacques le Majeur.
L’actuel hôtel de ville a été reconstruit en 1888 sur la place de
l’ancienne halle aux plaids. A cheval sur la rue principale,
actuellement il sert principalement de salle des mariages, ce qui fait
dire qu’à Clermont « on se marie sur la rue ».
Clermont, c’est aussi la douceur de vivre et le calme délicat des
campagnes mais toutefois l’une et l’autre animés le 1er week-end de
février par la marche de la Berwinne organisée par les Pédestrians et le
1er week-end d’août par la grande fête annuelle mise sur pied par la
Jeunesse Royale Saint-Jean.
En route pour la marche, muni de ma carte d'inscription et de mon appareil photo, je quitte la salle de départ, la salle Saint-Jean..
Direction la place de la Halle
En suite un petit chemin à droite de l'église nous fera descendre et nous laissera le village dans le dos
Le parcours rejoindra la ligne 38 (Ravel) et passera sous le pont de l'Aguesse.
A hauteur de l'arbre du Pendu, le parcours et en partie similaire à celui de la marche du Télévie de Thimister... Du moins jusqu'au Remembeer museum.
C'est à l'intérieur de celui-ci que se tient un point de contrôle de la marche. J'y passerai à deux reprises..
Je découvre quelques pièces de ce musée et je me suis promis de revenir le visiter.
En quittant ce point de contrôle, je me dirige vers la gauche et après quelques centaines de mètres, je prends un chemin sur la gauche qui nous amènera à un échalier..
Le passage y est très boueux.. D'autres personnes me racontent que le fermier propriétaire de la prairie y a déposé volontairement du lisier..
Je me demande ce qui a poussé cette personne à agir de la sorte..
Il faut bien y passer en essayant de ne pas trop s'y enfoncer... Je traverse alors les prairies, un champ qui va nous amener sur une route.
Après le passage devant cet établissent, le parcours continue sur la droite et nous allons longer un ruisseau.
Je traverse des prairies pour rejoindre une ferme dans le lointain.
Nous voici de retour sur une portion de route déjà empruntée qui nous ramène au point de contrôle.
Celui-ci n'est pas loin située de notre point de départ. Je termine cette marche par une traversée de prairies et un petit chemin qui me ramène à la salle.
Une marche agréable quoique rendue ardue par le force d'un vent glacial..
Rendez vous sans doute l'an prochain.
Toutes les photos ici
Direction la place de la Halle
En suite un petit chemin à droite de l'église nous fera descendre et nous laissera le village dans le dos
Le parcours rejoindra la ligne 38 (Ravel) et passera sous le pont de l'Aguesse.
A hauteur de l'arbre du Pendu, le parcours et en partie similaire à celui de la marche du Télévie de Thimister... Du moins jusqu'au Remembeer museum.
C'est à l'intérieur de celui-ci que se tient un point de contrôle de la marche. J'y passerai à deux reprises..
Je découvre quelques pièces de ce musée et je me suis promis de revenir le visiter.
En quittant ce point de contrôle, je me dirige vers la gauche et après quelques centaines de mètres, je prends un chemin sur la gauche qui nous amènera à un échalier..
Le passage y est très boueux.. D'autres personnes me racontent que le fermier propriétaire de la prairie y a déposé volontairement du lisier..
Je me demande ce qui a poussé cette personne à agir de la sorte..
Il faut bien y passer en essayant de ne pas trop s'y enfoncer... Je traverse alors les prairies, un champ qui va nous amener sur une route.
Je prends cette route vers la droite.
Le parcours m'amène à une bifurcation .. A gauche les 12, a droite les 21 et 42 kms.. Évidement, je prends celle de gauche.
Plus loin, changement de direction, je prends sur la gauche et passe devant une fontaine.
L’itinéraire nous amène au Charmes Chambertin.
Le Charmes Chambertin est niché dans une bâtisse d‘exception datant de 1739.
Après le passage devant cet établissent, le parcours continue sur la droite et nous allons longer un ruisseau.
Je traverse des prairies pour rejoindre une ferme dans le lointain.
Nous voici de retour sur une portion de route déjà empruntée qui nous ramène au point de contrôle.
Celui-ci n'est pas loin située de notre point de départ. Je termine cette marche par une traversée de prairies et un petit chemin qui me ramène à la salle.
Une marche agréable quoique rendue ardue par le force d'un vent glacial..
Rendez vous sans doute l'an prochain.
Toutes les photos ici
Belle réalisation Jean Claude
RépondreSupprimer